Hypnose et cancer:
Téléchargez ici
Psychothérapies & cancer
Le cancer est un mal qui touche de plus en plus de monde, 19 millions de nouveaux cas de
cancer auraient été diagnostiqués dans le monde en 2020, pour 10 millions de décès(1).
C'est-à-dire plus d'une personne sur 2! Si c’est chiffre concernant la létalité, est à nuancer
en fonction du type de cancer, selon les régions du monde, et donc de la qualité de soin et
de vie des patients. Il n’en reste pas moins préoccupant.
Par exemple, “les données, récoltées dans 185 pays, montrent que 23,4 % des cas de
cancer se concentrent dans le continent européen, 48,4 % en Asie, 13,2 % en Amérique du
Nord, 7,8 % en Amérique latine, 5,8 % en Afrique et 1,4 % en Océanie. En Afrique et en
Asie, la mortalité due au cancer est proportionnellement plus importante que dans les autres
régions du monde, certainement à cause d’un moins bon accès au soin, mais aussi parce
que l’incidence de cancers au pronostic plus défavorable y est plus importante.”(1).
Si l’on en croit la fondation contre le cancer, celui-ci se définit par :” Le terme « cancer »
englobe un groupe de maladies se caractérisant par la multiplication et la propagation
anarchiques de cellules anormales. Si les cellules cancéreuses ne sont pas éliminées,
l’évolution de la maladie va mener plus ou moins rapidement au décès de la personne
touchée.” (2)
Cette maladie qui touche le corps, peut-être dû à des facteurs externes (mode de vie,
facteurs environnementaux ou professionnels, infections), ou internes (mutations
héréditaires, hormones, dérèglement du système immunitaire, etc.).
C’est un peu comme si une partie de nous-même se retournait contre nous, ou devenait
“folle”.
Pour combattre le cancer et soigner une personne, la médecine dispose de tout un arsenal
d’outils, et traitements (chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie, hormonothérapie,
immunothérapie ou traitement ciblé).
Et c’est une très bonne chose, chaque jour la médecine fait des progrès et augmente les
chances de guérison.
Mais depuis quelques années, la psychologie, avec le courant de la psychologie de la santé
notamment, s’intéresse de plus en plus à l’influence du psychisme sur le corps.
Il s’agit là de déterminer de quelle façon, l'état émotionnel d'une personne peut être le
déclencheur ou un des facteurs aggravant de la maladie chronique et du cancer.
Mais s'il s’agit d’une maladie du corps, en quoi, les psychothérapies, et l’hypnose en
particulier peuvent-elles aider ?
Ce courant assez récent, il a une trentaine d’années, amène à se poser la question de
savoir si, partant du présupposé qu’une maladie peut-être causé par le psychisme, le stress,
ou des trauma, peut-on à l’inverse développer des outils qui en travaillant sur l’esprit peut
aider à guérir de la maladie?
Le corps objet.
L’approche actuelle de la médecine est principalement matérialiste et considère encore le
corps d’un point de vue mécaniste, comme quelque chose à réparer !
Indépendamment de l’esprit, ou de la conscience, dont le corps ne serait que le réceptacle
et dont elle n’a que faire.
Hors il n’est plus à démontrer aujourd’hui l'importance du mental, tant dans le
déclenchement de la maladie, que dans sa puissance de guérison.
On connaît l’influence du stress sur les maladies chroniques, cardiovasculaires, ou encore
sur l’immunité.(3) et (4).
Un stress chronique, ou un état anxieux, voir des ESPT *, peuvent même avoir une
influence sur la construction du cerveau ( voir article précédent) (5).
Hors si l'état mental influence nos capacités de guérison, notre qualité de sommeil, l’inverse
est vrai aussi. L’annonce d’une maladie, peut être un tel choc, qu’il va engendrer du stress,
même de l’anxiété qui à son tour, va affaiblir le sujet voir même aggraver la maladie. Une
étude menée par (6) Zachary Klaassen, oncologue au Georgia Cancer Center à Augusta
(Georgie), démontre qu’un problème de santé mentale augmente le risque de décès de 73%!
Il est vrai aussi que le stress influence le confort physique, du sujet, notamment, dans la
gestion de la douleur. Il est démontré que les personnes, angoissées, ou déprimées, ont un
ressenti subjectif plus important de la douleur, qui à son tour occasionne gêne,perte de
sommeil, et donc augmente le stress dans un cercle infernal.
Cette sensation de douleur est accrue par l’anticipation du sujet qui va se projeter dans ses
futurs ressentis, de même que dans les souvenirs de ceux-ci, ce qui donne une impression
de douleur continue.
Il est important, pour le bien-être des personnes touchées par le cancer, d'avoir une
approche globale de la santé, incluant le corps et l’esprit.
Traiter le corps, seul, c’est s’occuper de la moitié du problème, c’est partir au combat avec la
moitié de son armée.
Si le moral, l'état d’esprit du malade, influe sur ses chances de guérison, il nous faut nous en
occuper, et pour ce faire , avec des personnes dont c’est la spécialité.
*ESPT: États de stress post Traumatique
Temporalité
Il existe donc de nombreuses psychothérapies, qui peuvent aider, soulager, éventuellement
contribuer à guérir. Il nous faut comprendre que toutes les psychothérapies, dans le cadre
de l’aide en oncologie, fonctionnent, mais il est important d’utiliser les bons outils , au bon
moment.
Il existe à peu 300 à 400 psychothérapies (7) différentes, pourtant la plupart d’entre nous,
n'en connaissons que 4 ou 5.
Il est important pour les thérapeutes (psychologues, coach, psychothérapeutes, praticien..)
de tenir compte de cette ligne du temps de la maladie, afin de définir les bons objectifs au
bon moment, et donc proposer la bonne thérapie, et éventuellement déléguer durant
l’accompagnement, chez un confrère ayant une boite à outil différente.
Parmi une liste exhaustive, et partiale des approches qui donnent de vrais résultats, nous
allons retrouver l’EMDR, les TCC, la méditation, la prière, la pleine conscience et bien sûr
l’hypnose.
Cette temporalité s’articule autour de 3 périodes, qui elles même ont leur propre
chronologie.
1 l’annonce de la maladie.
Le cancer à une connotation culturelle, et celle-ci influence fortement notre façon de
concevoir notre futur.
Le diagnostic du cancer est souvent un choc, qui peut pendant a plus ou moins long terme
générer de l’angoisse. Celle-ci commence déjà durant l’attente des résultats. Notre cerveau
se met déjà à osciller entre espoir de “passer au travers” et fatalité.
C’est dès l’annonce du diagnostic, qu’il faut rencontrer un psychothérapeute. Celui-ci aidera
à accepter la maladie et commencera à aider le sujet à se mettre dans le bon état d’esprit
pour débuter le traitement. Parfois même ne fût-ce que pour accepter de se faire soigner !
L’annonce de la maladie, est une prise de conscience de notre propre mortalité. Même si
nous savons tous que nous allons mourir un jour, il nous est difficile de l’envisager
concrètement, cela reste quoiqu’on en dise un concept abstrait. Or cette réalité est liée à la
maladie, c’est la fin de l’illusion de l’immortalité, notre vie à une fin ! Cette prise de
conscience s’accompagne souvent d’une confusion, d’une perte de sens. Alors à quoi bon
se battre ? Il n’est pas rare de voir des sujets refuser de se soigner, car plus que le cancer
c’est la lourdeur des soins qui fait peur, à ce moment-là.
Il est donc primordial de rencontrer au plus vite, une personne qui pourra accompagner, vers
un nouveau paradigme, une reconstruction du sens de la vie.
Dans ce premier temps, le thérapeute pourra rassurer sur la suite du traitement, expliquer
comment l’hypnose va permettre de vivre cette période, avec plus de confort et de sérénité.
Rendre aussi à la personne sa capacité d’autoguérison, le rendre acteur/actrice, de son
bien-être, passer de victime à celui/celle qui prend soin d’elle même.
Mais aussi mobiliser les stratégies de Coping*.
En hypnose?
C’est déjà à ce moment-là que l’on va commencer à travailler avec l’hypnose sur les
émotions, la gestion du stress, et créer une Safe Place *. Ramener du calme, afin de
permettre la suite du travail.
Faire vivre les premières transes qui seront autant d’expériences qui faciliteront
l'apprentissage de l'autohypnose dans un second temps.
* Lazarus et Folkman (1984) définissent le coping comme « l’ensemble des efforts cognitifs et
comportementaux destinés à maîtriser, réduire ou tolérer les exigences internes ou externes
qui menacent ou dépassent les ressources d’un individu.
*Safe Place:Endroit imaginaire exploré en hypnose, où le sujet construit un sentiment
important de sécurité interne et de protection.
2. L’acceptation et le combat !
Une fois cette période de trouble passée, le bénéficiaire et le thérapeute établissent
ensemble un protocole d'accompagnement, parfois même avec l’intervention d’autres
thérapeutes ou combinant diverses méthodes.
Ce combat souvent long, lourd et pénible sera en dents de scie, avec des périodes plus ou
moins faciles. Il ne s’agit pas de se mentir, la mort ne sera jamais loin, et il est nécessaire de
l’accepter comme une issue possible.
Mais en même temps, il nous faut nous concentrer sur la vie, sur chaque victoire!
En séance, on va plutôt s’orienter sur un travail de débriefing tout d’abord, car les
bénéficiaires ont parfois peur, ou ont du mal à exprimer leur sentiment. Ils veulent éviter de
“surcharger” leur entourage, bien que ce soit eux les malades, ils veulent protéger leur
conjoint, leurs enfants, les épargner (surtout les femmes). Or, c’est une erreur, d’un point de
vue systémique, la maladie fait partie de la nouvelle réalité, de la famille. Il vaut mieux en
parler, même avec les touts petits, afin de "contrôler" ce qu’ils savent, plutôt que de laisser
l’imagination de l’entourage , qui elle n’a pas de limite…
Le thérapeute sera donc une oreille bienveillante, et attentive, qui saura écouter les
messages et méta-messages. Il saura repérer, les doutes, les croyances limitantes, les
moments de raz le bol, de baisse de morale, mais aussi les prises de conscience, il saura
encourager les petits moments de répit, de bonheur simple.
Il sera le dépositaire d’un état mental fluctuant. Au gré des jours et des soins.
Durant la séance, il sera un coach qui recadre les croyances, sur le sens de la vie,
maintenant que le travail, les obligations, sont devenues futilités. Comment envisager un
avenir, avec un système de valeurs qui a complètement éclaté ! On se réapproprie l’image
de soi, la confiance en soi, petit à petit.
On réapprend à donner de la valeur aux choses, qui semblaient acquises ou sans
importance.
Comprendre que cette maladie est un rite de passage, et qu’il nous est donné ici l’occasion
de réenchanter le quotidien.
On reconstruit petit à petit un futur, un après.
Il y a tout à reconstruire, à recréer, c’est passionnant !
Bien sûr, on accueille aussi, l'état du moment,la fatigue, la séance de chimio, un peu plus
difficile cette fois-ci, les douleurs, les nausées, le manque d’appétit…. “le conjoint qui ne
comprend rien et ne fait jamais ce qu’il faut.” Il est fréquent d'ailleurs de faire des séances
avec les parents ou le compagnon, afin de les aider à comprendre, à les aider à aider, mais
aussi, pour que lui aussi puisse être entendu, compris et soutenu ( voir article...°°°°).
Durant les séances on va aussi permettre au sujet de comprendre le sens caché de la
maladie, de ce que cela lui apprend, sur lui/elle même.
Parfois en travaillant avec des outils de décodage biologique, ou de thérapie
transgénérationnelle, pour couper des liens toxiques par exemple, ou se pardonner à
soi-même.
En Hypnose?
Dans les moments de fatigue, on fera des séances d’hypnose de confort, de relaxation, on
privilégiera un temps de repos, d’analgésie en cas de douleur, ou d'effacement de
symptôme (nausée, gênes diverses...), de détente musculaire. On pourra transformer la
lourdeur et la faiblesse du corps en légèreté ...
Rappelons bien que le travail en hypnose se fait tant sur le corps et ses ressentis, que sur le
mental, les émotions et pensées envahissantes.
C’est durant cette période que l’on apprend aussi l’auto-hypnose, pour notamment travailler
les distorsions de temps, afin que les séances à l'hôpital passent plus rapidement,à travailler
les perceptions des odeurs, qui sont un symptôme souvent exposé en séance.
On peut remplacer l’odeur de désinfectant par une autre odeur agréable de fleur, ou
“analgésier” temporairement l’odorat, ou faciliter la distraction sur d'autres sens...
Par exemple, lors de mes séances, j'apprends à utiliser les éléments, les sons de
l’environnement, pour s’auto-induire la transe, comme fixer le goutte-à-goutte, les bruits,
focaliser l’attention sur une tache sur un mur, ou une lumière qui scintille. Le voyage peut
alors se faire dans toutes les conditions, même les plus inadaptées, que ce soit pour
rejoindre la safe place précédemment créée ou que ce soit pour se promener sur un plage
bien ensoleillée, qui réchauffe l’intérieur du corps, ou visualiser les “mercenaires” (la chimio)
qui s'allient aux soldats (système immunitaire du sujet) pour combattre la tumeur… En vue
de diminuer les nausées, ouvrir l'appétit...Ou simplement pour trouver rapidement un
sommeil réparateur, ou visualiser la tumeur qui diminue de plus en plus.
Afin de revivre des moments de bonheur, ou de se projeter sur le futur….
C’est à ce moment- là que le sujet devient pleinement en charge, de son bien -être, il passe
du statut de victime passive, à celle d’auto thérapeute, actif. Il se reconnecte à son
guérisseur intérieur.
L’hypnose transgénérationnelle peut être d’une grande aide, pour travailler des liens
familiaux qui nous semblent être en cause de la maladie, comme des schémas répétitifs au
travers des générations. L'hypnose spirituelle, aide à renouer avec notre spiritualité, au sens
de la vie, mais nous connecte aussi à des ressources puissantes de guérison.
L’hypnose énergétique, enfin, permet au travers des séances, alliant transe et soins
énergétiques, de défaire des noeuds, de ré-énergiser les corps, physique et autres.
Le travail avec les animaux chakras totem, sont souvent utilisés comme alliés de la
guérison.
Le thérapeute doit aussi composer, avec les éventuelles rechutes, aider à faire son deuil
parfois sur des capacités qui se réduisent provisoirement ou définitivement suite à une
ablation, comme la possibilité de donner la vie, ou de continuer une activité physique, un
métier.
L’hypnose peut être un allié aussi dans la rééducation, notamment grâce à l'imagerie
mentale.
L’hypnose et l’auto hypnose, bien entendu, permettent de travailler sur la gestion de la
douleur, et l’inconfort au quotidien, mais aussi à l'hypno-analgésie, dans le cadre d'actes
chirurgicaux. On pourra faciliter toute intervention médicale, la récupération physique grâce
à l’hypnose.
Dans certains cas, malheureusement, le combat s'avère vain, et le thérapeute, alors, peut
jouer un rôle en soin palliatif, en aidant le malade à accepter le pronostic fatal, et à pouvoir
vivre au mieux ses derniers moments de vie. Il va l’aider à l’annoncer à la famille, préparer
ceux-ci à son absence,et continuer à vivre sans elle ou lui. Il faut préparer l'avenir des
enfants, les études,etc;...
Mais aussi se préparer à accueillir Sa mort, le plus sereinement possible.
3 La fin de la maladie
Heureusement, de plus en plus de personnes dépassent la maladie et reprennent une vie
heureuse et épanouissante.
Pourtant, c’est à cet instant de délivrance, que certain/e, vivent leur premier traumatisme.
Bien qu’ils aient vécu leur maladie et leur cheminement avec plus ou moins de “facilités”,
certains s'effondrent complètement avec la fin du traitement !
L’arrêt, souvent très soudain de toute prise en charge, est vécu comme un abandon.
Ces personnes, qui ont été le centre de l’attention, parfois pendant des années, se
retrouvent du jour au lendemain livrées à elles-mêmes, ne sachant pas trop quoi faire de
cette nouvelle vie. L’entourage, épuisé, s’en retourne, enfin, reprendre sa vie comme si elle
avait été mise en pause, et considère que le sujet, maintenant guérit, n’a plus besoin d’eux.
Régulièrement, c’est même le conjoint qui une fois la pression retombée qui déclare une
dépression, épuisé.
Il arrive que certains malades, coupés de leurs rituels, de soin, rendez-vous chimio, et autre,
développent un syndrome de stress post traumatique.
Ils ont perdu leurs repères. Ces moments, même désagréables, qui ont jalonné leur
quotidien, disparaissent du jour au lendemain, laissant un vide à combler.
C’est un point souvent peu connu, en médecine, qui estime qu'une fois le corps guérit, elle
n’a plus à s’en occuper.
C’est la fin du voyage du héros, il est temps maintenant de faire le deuil de la maladie, qui à
parfois fait partie du quotidien, pendant de longs moments et qui a occupé toute les
pensées, influé sur toutes les actions, décisions.
Le sujet a besoin de temps, de se réinventer, de créer sa vie 2.0.
Le psychothérapeute sera dans ce moment-là d’un grand secours et aidera à passer plus en
douceur ce cap. Il nous faut réapprendre l’autonomie à nos bénéficiaires, à replonger, mais
avec leur nouvelle identité, nouvelles valeurs dans le grand bain de la vie.
En hypnose?
Heureusement, si le sujet à été suivi dès les premiers instants, et que ce moment à été
anticipé, il a peu de chance de développer une angoisse, à ce moment de la vie.
Si ce n'est pas le cas et qu’ Espt, il y a, nous allons dans un premier temps le traiter.
Avec toutes les possibilités de travail qu’offre l’hypnose sur cette problématique.
Par exemple en travaillant sur les angoisses (peur du futur), les pensées envahissantes,etc..
En hypnose, nous allons permettre au bénéficiaire de réinvestir son corps et d’en refaire un
allié, le reconnecter à ses capacités retrouvées.
Lui rendre sa toute-puissance, parfois en continuant le travail de rééducation.
Le thérapeute va aider à se projeter dans le futur, ouvrir le champ des possibles, à accepter
de tourner la page et de faire son deuil. Le deuil de la maladie et de l’image de soi malade.
Là encore l’apprentissage de l’autohypnose sera un atout, afin de permettre au sujet de
régulièrement contacté ses “parties*”, s'écouter, se reposer, car il ne s’agit pas de s’épuiser
dans l’euphorie, mais aussi de dépasser ses limites souvent imaginaires…
*Le modèle des parties est utilisé dans de nombreuses approches psychologiques (AT, PCM,
Ennéagramme,PNL) (8) , en postulant l'existence de différentes parties intra psychiques
coexistant chez une même personne, chacune possédant ses caractéristiques propres…..
Conclusion:
Les maladies, les maladies chroniques, et les cancers, peuvent avoir des origines et impacts
à différents niveaux d’un individu. Ce corps qui est malade, qui avec un “mal a dit”, nous
exprime, peut-être, quelque chose. Nous demande d’être écouté.
Mais au-delà du sens, du “pourquoi”, il est surtout intéressant de s’orienter vers le
“comment” faire pour aller mieux, pour guérir.
Ces ressources, nous pouvons aller les chercher à l’extérieur, en faisant appel à la
médecine, à la chimie, à la radiothérapie. Mais nous pouvons aussi nous faire aider par une
personne, qui nous rendra notre capacité INTÉRIEURE, de guérison. Il ne s’agit pas ici
d'être exclusif, mais inclusif, ce n’est pas médecine ou psychothérapie, mais bien médecine
ET psychothérapie.
Ces psycho (âmes, esprit)- thérapies , sont nombreuses et variées, et les états modifiés de
consciences, comme l'hypnose, en font partie. Ces moments de transes, permettent de
connecter à nos ressources intérieures, qui vont elles-mêmes amplifier les effets des soins
médicaux et permettront de diminuer les effets secondaires indésirables.
Il nous faut penser global, un esprit dans un corps, qui s’influence réciproquement.
Chacune, chacun porte en lui la responsabilité et la capacité de se guérir.
(1) https://www.fondation-arc.org/le-cancer-en-chiffres
(2) https://www.cancer.be/le-cancer/quest-ce-que-le-cancer
(3) https://presse.inserm.fr/quand-le-stress-affaiblit-les-defenses-immunitaires/38
527/
(4) https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2002/09/meds
ci20021811p1160/medsci20021811p1160.html
(5) https://revuelependule.com/article-gratuit-avr-2021-1
(6) https://rdcu.be/cxiC8
(7) https://www.cairn.info/les-bases-de-la-psychotherapie--9782100708031-page
-7.htm
(8) https://www.institut-repere.com/Lexique-PNL/lexique-pnl-lettre-p.html#:~:text=Le%20mod%C3%A8le%20des%20parties%20est,chacune%20poss%C3%A9dant%20ses%20caract%C3%A9ristiques%20propres.)
Comments